Archives de : eelv vendée sud

  1. notre dame des luttes…

  2. ce que vous avez toujours voulu savoir sur nddl

    Guillaume BLAVETTE
    Collectif STOP-EPR ni à Penly ni ailleurs
    Haute-Normandie Nature environnement

  3. la répression toujours intense…

    Communiqué de presse – 29 janvier 2013

    Notre-Dame-des-Landes : la répression contre les opposants plus intense de jour en jour

    Au lendemain de la journée de dénonciation des violences de l’Etat, l’ACIPA constate avec indignation que la répression contre les opposants au projet d’aéroport devient de jour en jour plus intense.

    Après Sylvain et Clément jugés pour violence (avec arme et sans arme) en août pour avoir pour le premier reculé doucement son tracteur, Erwan et Elise, qui passent en procès le 12 février pour attentat à la pudeur pour s’être dénudés devant les gardes mobiles pour symboliquement dénoncer la fragilité des manifestants en face des gendarmes sur-équipés, Cyril en prison après s’être défendu face à des policiers déguisés en zadistes qui l’agressaient, des opposants parisiens en garde à vue pour des collages d’affiches, …..voici des jeunes qui passent en comparution immédiate après 48h de garde à vue pour un pique nique dans une propriété privée suite à une manifestation pacifique et clownesque.

    L’ACIPA dénonce de nouveau la disproportion scandaleuse entre les actes reprochés et leur traitement par les autorités, et plus généralement la criminalisation des opposants au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, seule réponse apportée par l’Etat qui n’a trouvé que l’emploi de la force pour contrer une argumentation solide contre un projet insensé.

    Contact Presse :

    Julien DURAND : 02 40 57 25 62

    Dominique FRESNEAU : 06 71 00 73 69

     

     

     

    Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d’Aéroport

    de Notre Dame des Landes.
    ACIPA – B.P. 5 – 44130 NOTRE DAME DES LANDES
    Tél. 06 71 00 73 69 Site web : http://acipa.free.fr

     

  4. de l’origine de la langue de bois…

    Si les sourds et muets ont leur langue de signes, les gourmands leur langue de chat , les commères leur langue de vipère à faire avaler des couleuvres, les pipelettes leur langue bien pendue, les jardiniers leur langue qui fourche alors on raconte que certains hommes politiques ont aussi leur propre langue : la langue de bois.
    Car finalement, nous parlons tous ce même langage : nous avons peur des mots, ils nous intimident alors nous tournons autour du pot, nous n’osons plus en prononcer certains : ainsi nous appellerons une femme de ménage : un agent ou technicienne de surface un cinquantenaire en fin de carrière : un cadre sénior confirmé, un handicapé : une personne à mobilité réduite …

    Mais pire encore , en cas de conflit on ne parlera pas de guerre mais d’événements diplomatiques, on ne parlera pas de bombardement mais d’attaque aérienne, pas de licenciement mais de plan social…

    « Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde » disait Camus….il nous faut donc nous méfier de la langue de bois …mais au fait :

    …d’où vient cette expression ? Pourquoi le bois pour désigner un langage ictif, stéréotypé et coupé de la réalité ?

    Voici 4 explications vraies de vraies à peine inventées… à vous de retrouver la véritable.

    Première explication :

    du latin Buscos lingua : Au Moyen Age l’expression avait le sens inverse de celui que nous lui connaissons aujourd’hui. En effet parler la langue de bois, c’était parler une langue vraie et sincère. A l’image du bois qui incarne la dureté, la pérénnité (on s’en servait pour faire les barrières, construire des maisons) cette langue inspirait la confiance… c’est pour ces mêmes raisons que sont apparues d’autres expressions comme montrer de quel bois je me chauffe pour révéler le vrai tempérament…. Cette langue de confiance était celle des maitres, des décideurs, des hommes de foi…mais à de multiples reprises, le peuple va se sentir trahi et avoir l’impression qu’on lui a menti et que l’on le mènait en bateau…l’expression va perdurer de façon ironique et prendre dés le 16ème siècle le sens qu’on lui connait aujourd’hui.

    Deuxième explication :

    En fait l’expression est très récente. Elle fait référence à un homme politique bien connu des français qui fut ministre de la culture. Parallèlement à ses fonctions de ministre il était aussi le premier magistrat de la ville de Blois…en référence à son éloquence, et à son « beau parler » parfois décallé il fut surnommé Lang de Blois…dés lors l’expression s’est imposée pour désigné un langage figé, coupé de la réalité…

    3ème explication :

    On doit cette expression au monde animal et plus particulièrement aux bovidés qui peuvent souffrir d’ un champignon qui provoque la formation d’une tumeur dure et sensible soit sur les maxilaires, soit sur la langue…on appelle cette maladie l’actinobacillose ou langue de bois,…en référence à cette maladie et du champignon dans la bouche, la métaphore langue de bois servait à qualifier un discours fait de barbarismes…

    4ème explication :

    Cette expression date des années 70 et vient de la Russie. Avant leur révolution pour se moquer du style quelque peu pesant de la bureaucratie tsarine, les russes parlaient de « langue de chêne »…Avec le courant bolchévique qui n’améliore pas vraiment le style…les manières de parler et d’écrire y sont codifiées et pleines de clichés….la locution continue d’être utilisée mais le chêne est devenu langue de bois…

    ”Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que la volonté farouche de nous sortir de ce marasme a pour conséquence obligatoire l’urgente nécessité d’un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun. » Ça s’est de la langue de bois pur jus !!!

    Ah oui pourquoi se compliquer la vie à faire simple alors qu’il est si simple de faire compliqué…voyez vous on ne mesure pas suffisamment la difficulté de cet art délicat qui demande un travail de tous les instants, je veux parler de l’art de ne rien dire, l’art de noyer le poisson.

    Mais voilà il y a mieux que la langue de bois…voici une nouvelle langue qui fait fureur sur internet je veux parler du xyloglotte (en grec : langue de bois)

    Le xyloglotte est une langue nouvelle reposant sur le concept incontournable du complexificationnage. l’art d’utiliser des mots de 8 syllabes là où 2 auraient suffi.

    S’il existe des mots et des expressions compréhensibles par le commun des mortels, quoi de plus distrayant que de les rendre abscons ?

    Cette langue fait fureur, on la retrouve même dans les chansons puisque Thiéfaine dans son dernier album chante un titre appelé orchidoclaste (grec orchis ;: testicules claste : briser…),je vous laisse traduire, mais voyez vous en xiloglotte ça passe plus facilement…l’expression est politiquement plus correcte.

    Mais pratiquons l’ovinotropisme autrement dit revenons à nos moutons.

    Quelques exercices pour savoir si vous parlez xyloglotte :

    Bovinodermiste : peau de vache…

    cyclohexagonogyration  : Tour de France

    ou alors autre exemple pourquoi fainéantise se dit pilosité palmaire bilatérale : poil dans la main

    Jérome.

  5. sortir des conservatismes…

    11 décembre 2012

    Nous comprenons et partageons les craintes de Mr Muller (OF 11 déc) quant à la situation économique du sud Vendée…

    Associer systématiquement notre refus de l’autoroute au refus du développement et de l’emploi en sud Vendée devient par contre insensé et peu crédible… Quel mouvement politique pourrait aller contre un travail qui permette de vivre… ? Évidemment que nous voulons de l’emploi et de développement sur ce territoire, au même titre que tout autre mouvement social et politique…

    Nous posons simplement la question de quels emplois, pour quels développements de ce territoire ?

    Oseriez-vous croire qu’un tuyau d’arrosage suffit à arroser un jardin alors qu’il n’y a plus d’eau dans la cuve ? Qu’est ce qui peut faire croire qu’une DEUXIÈME autoroute arroserait mieux encore notre territoire, alors que la plupart des territoires français se battent pour l’accueil d’entreprises et que nous sommes en pleine crise d’un système ?

    Vouloir l’autoroute à tout prix, c’est refuser de se questionner sur le territoire que nous voulons, demain, pour nos enfants notamment…On ne fait pas demain avec des références dépassées. Et de l’emploi, il y en a à créer !

     Nous aurions tant à dire sur le caractère obsolète de ce projet… Sans débats, ce territoire n’avancera pas… Osons le débat et l’échange sur ce territoire, sortons des postures idéologiques !

    Tony Demeurant et Corinne Devaud

    Coordinateurs du groupe local

  6. soignons l’asphyxie financière du département !

    7 décembre 2012

    Mr Retailleau craint aujourd’hui l’asphyxie financière pour les finances du département…

    EELV Vendée a bien entendu votre sonnette d’alarme, qui ressemble pourtant davantage à une ficelle de communication politicienne douteuse…

    Nous vous proposons pourtant notre aide, soucieux de la poursuite de la mise en oeuvre des compétences du conseil général…

    – Peut être pourrions recentrer notre action sur les compétences « essentielles » d’un Conseil Général, à savoir l’action sociale et la gestion des collèges… ? Alors que vous semblez regretter que cela devienne trop coûteux, nous rappelons que c’est une raison d’être majeure du Département… la communication outrancière (événements, pubications, TV,…) ne pourraient-ils pas être « sacrifiés » ?

    – N’y a-t-il pas des projets devenus inutiles, trop coûteux pour assurer votre mission première ? Qui des 30 millions d’€ que le CG veut sortir pour financer la future A831 ?… L’inutilité de ce projet est avérée, et cette somme devrait servir à garantir des politiques au service des vendéens…

    Comme vous le dites, des choix sont faits, et il faut les expliquer… aux français certes, mais aussi aux vendéens…

    Tony Demeurant,

    Coordo départementale


  7. le « contrat nature »… dénaturé !

    13 mars 2012

    Europe Écologie les Verts soutient évidemment le principe des contrats « nature », qui devraient permettre la reconquête écologique de nos territoires ruraux.

    Les objectifs de cette politique sont de redonner au territoire une logique d’action cohérente en faveur de la préservation de la biodiversité…

    Comment peut-on prétendre adopter une posture cohérente quand :

    • d’un côté on favorise le morcellement du territoire et la « saignée » des éco-systèmes avec une autoroute (A831) traversant un espace pourtant riche et préservé…

    • et que de l’autre, on saupoudre le territoire d’actions écologiques allant dans le sens d’une meilleure préservation ?

    Considérant par ailleurs que les compensations envisagées par la LPO ne figurent pas dans le projet de concession soumis à candidature, et que les réserves de substitution fleurissent sans même qu’on ne soit capable de vérifier si les nappes sont en mesure de se recharger en période hivernale, la cohérence environnementale de ce territoire ne nous saute pas aux yeux…

    Sauf à considérer que la signature de ce contrat coïncide avec des objectifs électoraux et une volonté manifeste de verdir son action, nous restons dubitatifs sur la validité de cette politique, qui engage des fonds publics importants sans pour autant garantir à nos enfants un retour vers un écosystème riche et diversifié.

    Ou quand l’arbre vert cache la forêt en souffrance…

    Tony Demeurant

    coordonnateur vendée sud

  8. l’action train – A831 du 31 mars 2011

     

    Le projet écologiste porte en lui les graines du changement… Du véritable changement.

    Celui qui sera capable de remettre en cause le système économique dominant, et qui sortira donc du combat pour le retour de la croissance… Partie depuis 1970, jamais revenue, on continue pourtant de parier sur son retour…

    Drôle de conception de la politique que de continuer de dilapider l’argent public dans la recherche d’un fantôme.

    Le projet d’A831, partant de Fontenay à Rochefort, est un de ce exemples trop nombreux de projet d’un ancien temps qui ne peut servir de référence à l’avenir de notre pays

     

      • 64km pour 890 millions d’€, soit 14millions le km
      • 10 à 15 minutes gagnées pour rejoindre la Rochelle, et autant pour Saintes (et Bordeaux), soit 89 millions d’€ la minute gagnée
      • passage dans deux zones Natura 2000, ainsi qu’a côté de villages
      • la multiplication des camions sur les routes secondaires, et dans tout le sud Vendée.
      • Des préconisations environnementales qui ne sont pas du tout intégrées dans le dossier d’appel à concession..
      • Des risques accrus de pollution par les échappements automobiles, donc des risques sur la santé humaine… Demain des pics de pollution à Fontenay ?

     

    On nous aura à peu près tout dit sur le projet d’A831 pour nous la faire avaler…

     

    Cela va favoriser l’emploi… !

     

    Lequel ? De quelle nature ? Et aux dépends de quels autre territoires ?

    Cette logique de concurrence par les zones d’activité, à grands coups de finances publiques, entretient la concurrence des territoires au lieu de favoriser la coopération… Il y a ceux qui gagnent et ceux qui perdent… ! La Rochelle – Fontenay … quel est le mieux armé pour gagner ? La proximité avec les pôles urbains impose de penser différemment…

     

    On nous a sorti l’arme fatale de la plate-forme système U…

    au delà des 800 camions par jour enregistrés dans d’autres plate-formes, on s’interroge :

     

    La création de ces emplois doit-elle empêcher de penser qu’il existe d’autres formes d’emplois… ? Que les élus pourraient, avec ces 900 millions d’€ financer des programmes ambitieux et créateurs d’emplois dans les nombreux domaines suivants :

     

    La rénovation de l’habitat (isolation, performance énergétique,

    les métiers de l’éco-construction et de l’éco-conception (rénovation écologique, réduction de l’impact de production des produits, ingénierie de formation,…

    Structuration et développement des circuits-courts, de l’agriculture biologique ou économe en intrants,

    relance des petits commerces et de l’artisanat qualifié

    Développement des filières bois

    Transformation des compétences industrielles locales en activités porteuses d’emplois et d’avenir (solaire, éolien, biomasse, éco-conception,…)

    Dans ces secteurs, il y a de l’avenir, des marchés à structurer, des emplois à forte valeur sociale (qu’on remet difficilement en cause), peu délocalisables…

    Quelles résistances nous empêchent de les encourager publiquement ? Quelle justification peut-on trouver à l’absence de volontarisme en la matière ?

    Elle va favoriser le développement de l’activité !! ?

    A lire les presses locales -pardon LA presse locale- tous le entrepreneurs sont unanime sur les bienfaits de l’A831… en tout cas, les 4 interrogés sont unanimes !!! Dont 3 transporteurs, et le gérant d’Hyper U… !!

    Évidemment, l’aubaine est bonne pour certains entrepreneurs qui auraient tort de s’en priver…

    Pour les autres ? Le risque le plus couru étant la polarisation des activités sur la Rochelle, qu’y gagneront les entrepreneurs locaux ?

    Elle va désenclaver le Sud Vendée et développer l’immobilier… !!!

    Effectivement, les belles Ferrari et autres bolides arriveront plus vite à la piste automobile fraîchement crée par la com com, mais pour le reste…

    Désenclaver par l’autoroutier, c’est déjà fait ! L’A83 se charge déjà de ça, pour la réussite qu’on lui connaît…

    La détermination, voire l’entêtement inconsidéré, à porter l’A831 en fait oublier une autre alternative : Une alternative moins chère, socialement plébiscitée, nettement plus écologique, porteuse d’emplois, et surtout moins coûteuse à terme (en particulier si on prend en compte le coût de la voiture, de l’essence, des infrastructures routières,…)

     

    >> Le train

    1 km de rail rénové, c’est 1 million d’€… Rappelons le ration de l’A831 !!

    La nette diminution des arrêts en gare de Luçon, seule gare active du sud vendée,

    le projet de diminution à une voie de cette même ligne

    l’abandon partiel du projet de réouverture de la ligne Fontenay-Niort

    l’absence d’arrêt, permettant la desserte de Fontenay, notamment à Velluire,

    nous inquiètent et témoignent de l’absence d’intérêt porté au sud Vendée.. Il est étonnant de voir que le média écrit local, encore lui, n’est pas porté l’analyse du marché immobilier sur le retour du train, nettement plus profitable à l’immobilier qu’une seconde autoroute…

     

    Alors oui, nous luttons contre l’A831, car aucune des raisons ne nous permet de considérer positivement ce projet… Pas même l’argument entendu consistant à dire « si la grand majorité des élus sont pour, alors,… nous devons accepter leur position » !!

     

    Et puisque rien ne sert d’avoir raison, si on a raison tout seul, rappelons, comme l’a dit Churchill, qu’« Il n’y a aucun mal à changer d’avis, pourvu que ce soit dans le bon sens »

    Et oui, nous militons pour le retour du train, en particulier et en urgence à Velluire, ce qui permettrait de desservir -enfin- Fontenay par le train.

     

    Outil résolument moderne, outil d’avenir, remettons le train en marche ensemble.

     

    Nous appelons au renforcement du mouvement contre la création d’une 2éme autoroute et pour le développement du rail (maintien des arrêts à Luçon, arrêts à Velluire…Marans), réouverture de la ligne Fontenay/Niort :

    A la création d’un large collectif réunissant les mouvements politiques, les syndicats salariés et paysans, les associations environnementale, de la santé et du cadre de vie, les citoyennes et les citoyens, les élu-e-s etc.

     

     

     

     

     

  9. A 831…millions d’€ ?

    le 14 septembre 2011

    Depuis le début opposés au projet autoroutier de l’A831, et en réaction de l’article de B.Retailleau du mardi 13 septembre, nous mesurons aujourd’hui l’étendue de l’incohérence des logiques politiques de nos gouvernants locaux !

     

    Comment peut-on laisser un projet aussi coûteux -pour aussi peu de bénéfices pour les contribuables vendéens et ligériens- revenir sur le devant de la scène en de telles périodes de crise ?

    A l’instar de nos élus régionaux, nous militons pour des alternatives d’avenir à la mobilité dans notre sud Vendée. Alors que les cours de pétrole n’ont jamais été aussi élevés, et qu’ils ne peuvent mécaniquement revenir à leurs niveaux « historiquement » bas, nous devons développer d’autres modes de transport.

    Car en plus de creuser les déficits publics avec de tels projets, c’est bien le budget automobile des vendéens et citoyens que l’on creusera avec cette autoroute déjà hors de prix ! A qui fera-t-on payer ce surcoût, en plus des contribuables locaux ?

     

    Préférer l’A831 à une connexion Fontenay-Niort par train, nettement moins chère, revient à privilégier l’économie de passage et d’exportation contre la mobilité domicile-travail quotidienne, mais aussi l’économie locale.

    C’est aussi faire une croix sur une offre de formation qualifiée, et l’ancrage de jeunes diplômés qui ne peuvent pas posséder la sacrosainte auto… 4h30 pour un voyage Bordeaux-Fontenay en train, peut-on faire pire ?

    Le coût actuel de la remise en état de la ligne Fontenay-Niort (40M€) est une goutte d’eau dans les 900Md’€ du projet d’autoroute, pour une desserte à peine plus courte… A défaut, ne peut-on pas étudier la transformation de la voie ferrée existante en ligne bus sur site propre (type « Busway » aux portes de Nantes) ?

     

    Au delà donc des aspects environnementaux qui posent problèmes au développement de ce projet, nous réaffirmons qu’il n’est pas ou plus porteur de développement local. Ce miroir aux alouettes ne doit pas nous détourner des alternatives importantes que ce sud Vendée peut développer. Et ne doit pas non plus faire oublier à nos élus du Conseil Général que leurs compétences sont l’action sociale, les collèges, le développement local, et qu’à ce titre, il y a probablement d’autres urgences à traiter en Vendée, notamment dans notre sud Vendée.

    Tony Demeurant, coordonnateur eelv Vendée Sud

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